27 novembre2008


Le  froid  habite  la  nature

      la  cheminée  ronfle  les  bûches

Douceur  tendre  au  coin  du  feu

  les  mots  se  taisent  

Le  silence  habille  la  nostalgie

        Personne  ne  viendra

ni  ce  soir    ni  aucun  autre  soir

         Plus  jamais

La  porte  s'est  refermée  sur  ton   Adieu

      la  clef  s'est  brisée  dans  la  serrure

             Le  temps  s'est   arrêté

               la  vie   est  décédée

 l'âtre  allumé  respire  le  passé  révolu

   le  craquement  du  bois   torturé  par  les  flammes

fait  revenir  à  l'esprit   la  douleur  des  larmes  versées

          encore  pas   et   jamais  séchées







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