. . . ben, voilà . . .
le coeur est sous les feuilles mortes
néanmoins n'a pas cessé de vivre
Dieu ! ! ! quelle flétrissure ! ! ! !
perdue sa forme son port et sa (ses) couleur(s)
chaque feuille en automne
dépouillé de son éclat de sa joie
le coeur flétri son visage
manque de sentiment marqué au fer chaud
enterré le verbe aimer
la feuille pleine de vanité s'adonne aux bonheurs saisons
le destin se balance au gré de la force du vent
le coeur sans orgeuil s'accroche à ses valvules
La feuille valdingue l'arrière-saison sans retenue aucune
le coeur crève à petit feu
la feuille tombe poussière au coeur du cercueil
le coeur est sous les feuilles mortes
néanmoins n'a pas cessé de vivre
Dieu ! ! ! quelle flétrissure ! ! ! !
perdue sa forme son port et sa (ses) couleur(s)
chaque feuille en automne
dépouillé de son éclat de sa joie
le coeur flétri son visage
manque de sentiment marqué au fer chaud
enterré le verbe aimer
la feuille pleine de vanité s'adonne aux bonheurs saisons
le destin se balance au gré de la force du vent
le coeur sans orgeuil s'accroche à ses valvules
La feuille valdingue l'arrière-saison sans retenue aucune
le coeur crève à petit feu
la feuille tombe poussière au coeur du cercueil