17 juillet2007

. . .   une  silhouette   se  profile  . . .

au  bord  d'une  route  creuse  d'un  temps  oublié

                         . . . un  prénom  cahote  l'asphalte

                                            d'un  semblant  de  ma  vie . . .

                               avance  la  nuit

et  le  diable  sème  les  violettes  noires  dessus  l'obscur  cratère

                             que  régit  l'enfer  d'un  passé  présent

Naufragées  de  tes fragmentaires  états  affectifs  mes  larmes  crachent

                                              ROUGE  SANG

les  velours  de  ton  regard  saigne  coulée  de  lave  teinte  jais

Dieu !   . . .  que  trace  sillon  profond  volcan  enchanteur

                            brûle  les  yeux  morts  de  toi

                                     jusqu'à  éteindre  le  fantôme  de  ton  miroir . . .

.  .  .  reliquat

                                            Hyroshima  sentimental  . . .

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